

Clock's heart Lone Digger - Caravan Palace (<|O_O|>)
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DeathxCity, Posté le lundi 01 janvier 2018 11:39
( Voici la MES ! Et bonne année ♥ c: )
☠ Alexis :
Son histoire avec Kole remontait à deux-trois ans. Lors de sa fraîche installation dans ce quartier pourrie, elle avait croisé son regard à de nombreuses reprises sans jamais lui adressé la parole. Comme si tout les deux n’osaient s’approcher. Garçon malfrat et fillette plutôt respectable. Mais en réalité ça n’avait rien à voir, car tout déborda de travers, lors d’un événement tragique. Cette fillette qu’on aurait pu imaginer faire de bonne chose se retrouva entre les griffes d’un gars complètement timbré, la rendant tout aussi timbrés que lui. Oui, Kole transforma complètement Alexis, d’ailleurs les photos d’avant/après était tout bonnement bluffant, mais hormis le physique, son caractère aussi c’était changé, s’affirmant de façon fulgurante. Et après une longue histoire avec lui, elle l’avait jetée mais était-ce aussi simple de se débarrasser de lui ? Non, bien sûr que non.
Toute les nuits, les « rêves » d’Alexis ne tournait qu’autour de ses souvenirs lointain avec Kole. Des bons comme des mauvais. Ce gars était un poisson diabolique, qui l’envahissait dans la vie et ses rêves. Tout deux, comme chat et chien, ne semblait pouvoir vivre l’un sans l’autre et pourtant, alors que la blanche pensait qu’elle serait toujours intouchable en restant sous les mains de Kole et ça, malgré leur rupture récente.. le lien se brisa en mille morceaux.
[…]
Aujourd’hui comme hier Alexis avait passée la journée en cours, elle n’était pas rentrée tard pour une fois, aillant déclinée l’invitation de Cleena, sa camarade de classe. Alors comme toujours, en rentrant chez elle, elle balançait ses affaires un peu partout avant de finalement retirer la couche de son uniforme qu’elle catégorisait de « tenue de bonne soeur ». Rien que ça, oui. Alors, ni une, ni deux, elle attrapa un haut plongeant ainsi qu’un short ras les fesses qu’elle harmonisa avec des bas montant, qui ressemblait plus à des filets de pêche qu’autre chose. Une tenue peu appropriée pour la maison mais Alexis ne restait jamais longtemps chez elle, ne supporte pas cette baraque à moitié pourrie. Alors oui, elle sortait dehors, faire n’importe quoi. Mais son caractère la sauvait toujours des petits malins qui essayaient de faire le show avec elle et aussi.. le fait qu’elle avait côtoyé Kole, ça dissuadais énormément. Qui dans ce coin ne connaissait pas ce type de toute façon ? Tss.
Mais tout allait changer et ça en une fraction de seconde. Alors qu’elle descendait de son étage pour se préparer un plateau repas, la porte tambourina. Une chose commune en soit mais elle s’imagina que c’était peut-être son père qui était encore dans un sale état. Car oui, celui-ci était bouffé par l’alcool et la drogue. Ni une, ni deux, elle sautilla jusqu’à la porte d’entrée ouvrant celle-ci sans ménagement. Mais c’était loin d’être son père, non, sous ses yeux ébahit Hiko, la main droite de Kole lui faisait face. Immédiatement, la blanche effectua un mouvement de recul tout en voulant refermé la porte, sauf que celui-ci l’intercepta de son point.
« DÉGAGE ! » S’écria-t-elle, commençant à courir dans les escaliers pour lui échapper.
Oui, Alexis ne souhaitait plus s’approcher de trop près de l’entourage de Kole et ce n’était jamais bon signe quand eux-mêmes venait à elle. Du moins quand c’était Hiko ou Kole en personne, alors elle fuyait sans même savoir ce qui voulait. Malheureusement le garçon était bien plus hargneux, l’attrapant en pleine volé, posant sa main sur la bouche de la blanche pour éviter tout crie incessant qui lui casserait les oreilles. Mais évidemment, elle ne se laissait pas faire, variant les cous de bras et de jambes, s’agitent comme une anguille dans ses bras. Elle lui mordit même la paume de sa main ce qui l’énerva. Sans aucune pitié, Hiko lui avait empoigné les cheveux pour littéralement lui éclaté la tête contre la porte, l’assommant sur le coup. Le trajet se fut donc dans le noir complet.
[…]
Reprenant connaissance, la jeune femme se sentait presque à l’étroit, comme si elle était pendue à quelque chose. En réalité son corps était juste mit de façon sac à patates sur quelqu’un. Ses yeux avaient du mal à s’ouvrir et son front lui faisait atrocement mal. Ses doigts s’étaient difficilement relevé à celui-ci pour constater qu’elle avait du sang. Mais ce ne fut pas le plus perturbant, car une scène se déroulait au milieu d’elle.
« Allons.. vous me connaissez ma chers. Je vous l’offre gratuitement, faites en une de vos filles. »
Cette voix.. Kole ? Alexis essaya de bouger, mais en vain, elle voyait juste d’un regard flou deux individus. Kole et une personne inconnue. En faire une fille ? Mais qu’est-ce qu’il racontait ? Elle ne comprenait même pas cette mascarade, essayant juste d’agripper de ses doigts la personne qui la tenait de cette façon, pour lui faire comprendre qu’elle était réveillée.
Lyvidia, Posté le jeudi 21 décembre 2017 17:30
(Hey! Voilà ma réponse ! En espérant qu'elle plaira ! :3)
#Jill
Perchée sur la branche d’un arbre et dissimulée par ses feuillages, Jill attendait patiemment qu’une voiture luxueuse passe sous elle. Malgré la réputation que s’était faite la bande à Robin, les nobles continuaient d’emprunter la route passant par la forêt pour rejoindre la ville. C’était l’itinéraire le plus court et surement pensaient-ils être en sécurité quand ils avaient avec eux des guerriers et des lames dissimulées dans les plis de leurs vêtements. Cependant, ces bois appartenaient à Robin et ses acolytes. Ils les connaissaient par c½ur et savaient les utiliser à leur avantage. Les bourgeois et leurs hommes n’avaient aucune chance.
Le soir commençait à tomber quand une diligence pointa le bout de son nez. Entourée de deux cavaliers, elle se déplaçait à une vitesse qui laissait suggérer que les personnes à l’intérieur ne souhaitaient pas s’attarder dans la forêt de Nottingham. Ils connaissaient surement les risques qu’ils encouraient. Les hommes – surement des mercenaires – qui chevauchaient auprès d’elle sondaient les alentours avec précaution, la main sur le pommeau de l’épée. Ils n’avaient pas l’air commode mais il en fallait plus pour intimider Jill qui arma son arc.
Visant la diligence, plus précisément l’attelage des chevaux, elle tira une flèche qui trancha une partie de la sangle. Percevant en premier la menace, le conducteur de la voiture donna l’alerte mais ne diminua pas l’allure de sa course, ce qui étonna Jill qui s’empressa d’encocher une nouvelle flèche. Celle-ci se figea dans le sol devant les chevaux qui hennirent mais avant qu’ils aient pu céder à la panique, le cocher les repris en main et, faisant claquer les brides sur leurs croupes, conserva sa vitesse effrénée.
Il fallut que le passager de la diligence soit une personne importante pour que le conducteur décide de foncer tête baissée sur le chemin sans prendre la peine de débusquer l’assaillant. Surement craignait-il d’avantage son voyageur que les flèches de Robin des bois et ses amis.
A cette allure-là, il était difficile pour Jill de viser correctement. Les deux flèches qu’elle tira par la suite s’échouèrent sur le sol. Bientôt, la voiture allait la dépasser sans qu’elle ne puisse l’arrêter. Elle n’eut donc le choix. Quand le véhicule arriva à son niveau, elle sauta sur le toit. Bien sûr, elle fut immédiatement repérée et les cavaliers dégainèrent leurs épées pour la pourfendre.
— Une femme ! s’exclama l’un.
— Attrapons-là !
Se tenant au bord de la voiture de toutes ses forces, Jill resta un moment allongée sur le toit. Il ne fallait surtout pas qu’elle lâche, la chute risquant d’être douloureuse. Elle se hissa jusqu’au conducteur qui tenta de la poignarder avec un couteau caché. Plus rapide, elle donna un coup de pied dans sa main après être descendue sur la surface où il était assis. Là, ils commencèrent à se battre à mains nues. L’équilibre précaire dû aux zigzags que faisait maintenant la coche manqua de les faire tomber à plusieurs reprises. Jill parvint néanmoins à faire passer le cocher par-dessus bord avant qu’un des cavaliers menace de la trancher.
Les deux hommes l’empêchèrent d’attraper les brides et afin de se mettre à l’abri de leur acier, elle remonta sur le toit, assise sur celui-ci. Prenant garde à ce que les guerriers ne lui sectionnent pas les jambes, elle arma son arc et visa de nouveau l’attache des chevaux. Sa flèche n’atteignit pas sa cible, un des mercenaires ayant abandonné son cheval pour grimper sur la diligence. Jill chercha à le repousser de son pied, armant en même temps son arc.
Le convoi sortit finalement de la forêt, sous la nuit tombante. La ville de Nottingham était droit devant et les premières maisons n’étaient qu’à une centaine de mètres. La voiture passa devant elles à une allure toujours aussi élevée, manquant de faucher des paysans. Bientôt, ils allaient atteindre la cité et des gens risquaient de se faire écraser. Jill, malgré la situation et les attaques de ses adversaires, se concentra sur sa cible et tira.
La flèche atteignit la sangle et cette fois-ci, elle se déchira. Les quatre chevaux se retrouvèrent maintenus un instant au véhicule par une unique attache. Prise dans son élan, la diligence poursuivit sa route tandis que les équidés changèrent de destination. La divergence soudaine de trajectoire planta net la voiture alors que la deuxième sangle céda, libérant les chevaux de leur charge. Jill et son assaillant furent tous les deux projetés et le cheval du deuxième cavalier cambra sous la surprise, jetant l’homme au sol.
Ce fut la jeune femme qui fut la plus rapide à se ressaisir. Donnant un coup de pied à l’épée du premier adversaire, elle le priva de son arme et lui donna un coup de poing pour l’assommer. Le deuxième se releva et, toujours armé, se lança sur elle. Au même moment, la porte s’ouvrit sur un homme grand, brun, et bien vêtu. Il lança un regard noir à Jill.
— Tue-la, ordonna-t-il à l’homme.
Mais avant même qu’il ait pu l’atteindre, Jill tira une flèche dans sa main. Le mercenaire lâcha son épée et se mit à hurler de douleur, tombant à genoux. Le bourgeois, réalisant qu’il avait perdu, attrapa la monture d’un des cavaliers et prit la fuite sans demander son reste, ne laissant pas la chance à Jill de le rattraper. La jeune femme était de toute manière trop épuisée pour le suivre et elle voulait vérifier qu’il n’y avait rien d’autre dans la voiture.
Ouvrant la porte de celle-ci, elle découvrit alors quatre femmes et deux enfants ligotés et tremblant d’effroi. Les yeux écarquillés, l’archère resta stupéfaite. Enfin, elle prit l’initiative de les libérer de leurs liens et les interrogea.
— Cet homme vous a enlevé ? demanda-t-elle
— Il espérait nous vendre à Nottingham, répondit l’une des femmes.
— Il voulait nous vendre à des proxénètes, ajouta une autre sur un ton de dégout.
Un trafic d’humains existait donc à Nottingham. Outrée, Jill envisagea d’ores et déjà d’enquêter sur les têtes pensantes de ce trafic. Elle ne pouvait permettre que des femmes et des enfants soient ainsi vendus comme du bétail, de la marchandise.
ILIKETHERP, Posté le mercredi 13 décembre 2017 12:05
Yori :
Quand la demoiselle s'était éclipser, révolté, le blond afficha un sourire victorieux, il adorait tellement emmerder son monde. Il se dressa sur ses pieds, grimaçant face à la douleure lancinante de ses côtés brisés. Il devait y avoir de ma morphine dans les parages ? Fouineur comme il est, il trouva cette dernière en deux temps trois mouvements. Il s'injecta le liquide dans une veine encore valide. Les effets étaient très rapide, il avait injecté une bonne dose, assez pour ne pas souffrir et pas suffisamment pour tomber de fatigue.
Il décida de partir à l'aventure dans l'entre du diable, parcourant les couloirs avec curiosité. Chaque porte entre ouverte, il y glissait la tête, voyant des scènes parfois emmerdante et parfois trop entraînante, bordel c'était quoi cet endroit de malade ? Il allait avec la trique à force de voir tout ça. Il s'attarda d'ailleurs sur une scène magnifique, deux filles et un mec ? Il avait l'air pété de tune pensa le blond.
« Bordel il se fait plaisir le vieux … »
Il ne put se retenir de rire face au gémissement carrément pourrie du mec, non sérieusement ? Il avait pas honte ? Mais le son qu'il avait émit avait stopper la délicieuse scène, le vieux s'était retiré en sursaut, cachant ses partie intimes peu flatteuses.
« Qu'est ce que … Que foutez vous ici ?! C'est des lieux privées ici ! Foutez le camp avant que je vous fasses buter ! »
S'exclama l'homme dénudé. Yori n'en était pas à sa première menace de mort... Un peu plus ou un peu moins.
« Ca va pépé, calme tes ardeurs, c'est pas toi qui m’intéresses.. »
Dit Yori en regardant les filles.
« Juste un conseil, s'tu veux les faire grimper aux rideaux, évite ce genre de gémissements. »
Il lui envoie un clin d'oeil tandis que les filles étaient à la fois outré et amusé, bien qu'elles savaient le dissimuler. Le blond ferma la porte derrière lui avant que le vieux en rajoute, se trouvant nez à nez avec toi. Et tu n'avais pas l'air très contente, mais Yori avait du mal avec les expression faciales.
« Oh ! Revoilà la patronne ! C'est chez vous ici ? Y a grave des trucs chelou... »
Dit il en jetant un coup d'oeil à la porte derrière lui.
ILIKETHERP, Posté le samedi 22 juillet 2017 10:29
Yori :
Je m'étais évanouit avant même d'avoir posé mon cul dans cette voiture. C'était le noir complet. Mon esprit divaguait entre le conscient et l'inconscient. Tantôt j'ouvrais les yeux, pour voir le plafond de cette voiture, tournant la tête apercevant quelqu'un au volant, mais à ce moment là, je rêvais clairement. Par ailleurs je repartais à nouveau dans le vague une bonne fois pour toute, ne supportant plus la douleurs lancinante qui émanait de mes côtes.
Je me réveillais finalement dans une pièce ? Mes yeux étaient fixaient sur le plafond, je pris une inspiration qui me fis grimacer et tousser un peu. Mais une voix féminine s'adressa à moi en me demandant de rester tranquille. Mes yeux recherchaient d'ou venait la voix avant de tomber nez à nez avec une … infirmière ? Que sais-je. Elle était mignonne, un sourire salace se dessina sur mes lèvres. Je la laissais me tripoter à sa guise. Oh putain ce que je me sentais bien... Je regardais mon bras, ne perfusion ? De la morphine sans doute, pile poil ce qui me fallait. Je ne voulais pas faire une crise de manque. La douleur aussi c'était atténué. Je fixais la jeune fille avec envie.
<< J'suis ou beauté ? >>
Elle ne me regardait même pas , se raclant la gorge pour me faire comprendre que je n'avais aucune chance, au pire ce n'était pas ça qui allait me faire arrêter de la draguer. Même à l'article de la mort je draguerais. Elle me répond seulement que je suis en sécurité...Ma cocotte qu'est ce que je m'en branle de la sécurité. Enfin, au moins j'avais moins mal en respirant... Ca devait pas être si grave.
Mes yeux étaient braqués sur la jeune fille qui c'était penché pour ramasser un truc par terre, c'était clairement une invitation. Ma main atterrit sur ses fesses , les malaxant un peu oh putain, je bandais. Elle se retourna outré et très en colère ce qui me décrocha un sourire amusé. Elle se retenait clairement de m'en mettre une. Elle partit rapidement et furibonde. J'avais une envie de rire nom de dieu...
ILIKETHERP, Posté le mercredi 05 juillet 2017 09:07
Yori :
J’avais l’habitude que les gens soient perturbé en me voyant, voir même apeuré, ce n’est pas pour rien que ces mecs s’y étaient mis à 5 pour me casser la gueule , j’étais intimidant de base , mais je voyais que toi tu faisais partie de la cours des grands, tu avais du voir des plus balaises que moi. Mais des je m’enfoutiste dans mon genre ? Ça je l’ignore. J’étais à des lieux de me soucier de ce que tu voulais me faire , dans tous les cas avec mes côtes brisé , je ne pouvais pas trop résister même si , la mort n’était pas une crainte pour moi vus la vie que je menais. Je te regardais aussi , sans bouger , en réalité toi non plus tu ne m’impressionnais pas. J’étais loin d’être faible d’esprit et encore moins soumis, sinon je pense que je n’aurais pas survécu bien longtemps dans ce monde de brut.
Je te regardais appeler , mais je ne comprenais rien à ce que tu racontais pour la simple et bonne raison que j’avais l’impression de partir, tomber dans les pommes comme on disait couramment. Je faisais une sorte d’hémorragie interne ? Aucune idée ce genre de truc me dépassais un peu. Mais il est vrai que lorsque j’inspirais cela piquait un peu. J’essayais de garder mes yeux ouvert tant bien que mal et c’est le contact de ta main froide sur mon visage qui me fis un peu sursauter et me réveiller, je te regardais de mes yeux bleus me demandant ce que tu faisais à observer mon corps percé et tatoué. Je souriais à ta phrase , au moins nos sentiments l’un envers l’autre étaient réciproque.
Mais je ne pus tenir plus longtemps, sans que je ne m’en rende compte j’étais partie , évanouis je n’avais même pas sentis que l’on m’avait transporté dans une voiture, à vrai je n’en avais plus rien à faire à ce moment là. Tu pouvais m’emmener au bout du monde que je n’en serais pas contrarié. Je n’avais aucune attaque, mise à part une prostitué qui était mon ami, une amie d’enfance qui essayé de veiller sur moi… Je ne leurs apportais rien, personnes n’allaient s’inquiéter pour moi. Je ne comptais pour personne…
ILIKETHERP, Posté le jeudi 25 mai 2017 13:43
Yori :
Quand je me pris ton pied dans le menton, je n'avais rien dis, bougeant ma mâchoire de droite à gauche avant de me mettre à rire mais d'une force, j'étais explosé de rire. Mon rire raisonna dans la ruelle tandis que je me tenais les côtés qui me faisais atrocement souffrir. Elles devaient être pété. Je me calmais au fur et à mesure , essayant de reprendre mon souffle avant de poser mon regard pétillant sur toi. Ahlala... Qui m'avais autorisé à te tutoyer ? Ma poule si je tutoyais ma bite, je tutoierais le monde entier. Tu avais bien coincé du cul et bien chiante. Sans doute mal baiser ? Je pouvais arranger ça si tu voulais.
Je passais ma large main sur ma machoire, mon regard étant plus sombre. Je te regardais reculé en haussant un sourcil , tendis que je penchais ma tête sur le côté , tu avais compris que tu me faisais chier? Vus le regard que tu me lançais il fallait croire que non. Tu me draguais ou quoi ? Fallait pas me regarder comme ça , j'allais bander. Je soupirais quand tu me demandais encore une fois, basculant ma tête en arrière.
« Sérieux , je kiffe quand tu me frappe bébé... Alors c'est pas comme ça que j'vais te vouvoyer. Par contre s'tu veux bien m'aider, je crois que j'ai des côtes pétés donc aide moi a me relever que j'aille voir un toubibe. J'en connais un bon pas loin d'ici, il est bon au pieu aussi. »
Je me mordais la lèvre en y pensant, ah , penser à ça soulageait ma douleurs. Bien sur je savais que tu n'allais pas m'aider , te lasser et partir. Ou m'achever avec un flingue ? De toute façon dans tous les cas j'en avais rien à foutre. Heureusement que j'étais pas flippé de mourir vus la vie que je menais.
ILIKETHERP, Posté le samedi 20 mai 2017 04:54
Yori :
Je l'avais rencontré il y a 1 mois de ça dans un de ces bars ou les femmes riches et dont le maris passait son temps au bureau. C'était facile de gratter un verre ou deux gratuits là bas grâce à ma belle gueule, mes tatouage, mes piercing et mes muscles saillant. Ces femmes étaient propres sur elle, mais vachement sale entre les jambes et elles voulaient se salir un peu plus avec moi. Elles savaient que j'allais les faire grimper aux rideaux. Non je ne me prostituais pas, quand je le faisais c'était surtout pour mon plaisir à vrai dire, garçon , fille , au lycée , dans la rue , dans un bordel. J'aimais le sexe , j'en été accroc autant que la drogue.
Comment cela a-t-il pu arriver ? C'est facile avec une mère qui ne se gênait pas d'exposer ses ébats sexuel devant son fils en bas âge, pour moi c'était devenue un acte banal, normal, le seul moyen d'exprimer son affection, sa haine, sa jalousie, oui j'exprimais tout ce que je ressentais à travers le sexe. Chacun son truc non ? Au moins je savais me protéger. Il manquerait plus que je choppe un gamin ou pire une maladie. Ark.
Puis cette femme, dans ce bar, la trentaine ? Bon sang ce qu'elle était bonne. Elle savait comment attirer les minets comme moi, sauf que je savais rendre les autres accrocs à moi même si ils pensaient avoir le pouvoir. On l'avait fait directement dans le bar , dans un endroit sombre, puis contre le mur dans une ruelle et enfin chez elle. Je crois qu'elle était vraiment frustré pour en demander autant. Mais ce que j'ignorais c'est que son maris gagnait de l'argent très sale et était très dangereux.
Je l'ai su dans la journée , après avoir passé la nuit chez cette femme, j'avais du laisser mon caleçon de la veille, elle m'a vite envoyé un message en me disant de filer car elle avait du tout dire à son maris sur moi, et sans doute lui montrer une photo ? Qu'est ce que je m'en foutais à vrai dire. J'avais peur d'absolument rien mise à part qu'on me coupe le pénis... Et encore j'avais mon cul. Mais le soir ses gars avaient réussir à me trouver et me mettre une bonne dérouillé , me laissant la au milieu des poubelles. J'affichais un sourire amusé en m'imaginant ce maris plein au as avec sa bite mole qui servait à rien, pauvre de lui. Puis soudain je vis une femme s'approcher de moi avant de me demander si j'avais besoin d'aide. Tu avais l'air charmante. Mais je ne pus m'empêcher de pouffer de rire. Grimaçant un peu , ayant mal au côtes.
« Haha … Ouais t'peux le dire qu'une seule fois , j'suis pas sourd. Non t'inquiète … J'vais me relever, j'me relève toujours. »
J'affichais mon sourire qui me donnais un petit côté … Fou ?
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ILIKETHERP, Posté le lundi 01 janvier 2018 17:15
Yori :
Le blond te fixa un long moment, son air enjoué était devenu blasé. Il regardait presque les mouches volés d'un air ennuyé, il avait horreur qu'on lui remonte les bretelles ou qu'on lui donne des ordres. Mais tu finis par capter son attention lorsque que le chauffeur posa une main sur son épaule. En réalité c'est sur lui que se porta l'attention du jeune.
« Mec … Me douche pas maintenant, j'ai une trique d'enfer. J'vais avoir envie de la fourrer dans ta bouche. »
Dit il en souriant comme ci il venait de dire une banalité. Puis il tourna la tête vers toi, finissant par hausser les épaules. Après les deux solutions lui convenaient très bien, il en avait pas grand chose à foutre.
« C'toi la patronne, c'toi qui décide nan ? A toi d'voir s'tu veux d'moi dans les pattes. Mais j'ai l'habitude d'être jeter, après tout j'suis qu'un obsédé, drogué et un emmerdeur de première patronne. Faut me coltiner. »
Ajouta t-il simplement. Il n'allait pas te sucer les tétons pour rester ou pour partir. Il n'allait pas être mielleux et conciliant, il allait seulement être lui même, au moins, il était honnête avec toi.